L’enlèvement, Caroline Chabrol

l'enlèvement.pngMerci à BoB et aux éditions Le Manuscrit pour ce partenariat.

Présentation de l’éditeur : il y a un an, Lena a été victime d’un enlèvement. Droguée par ses ravisseurs, elle ne se souvient pas des derniers moments de sa captivité. Depuis sa libération, elle s’est efforcée de reprendre le cours d’une vie normale dans son travail et auprès de son compagnon et de sa fille. Mais une lettre déposée à son cabinet de vétérinaire et une photographie reçue par mail lui font comprendre que le cauchemar n’est pas fini. Contrainte de fuir pour protéger les siens, elle se réfugiera en Italie, le pays de son père. Mais le maître-chanteur n’est pas prêt à lâcher sa proie.

Mon avis : je dirai peu de choses relatives à ce récit parce que je ne l’ai pas apprécié (mais pas au point d’en abandonner la lecture).
L’histoire m’a paru confuse et pourtant, ce n’est pas rare de lire une trame qui ne soit pas relatée chronologiquement mais dans ce cas, cela m’a dérangée.  En outre, le livre est présenté comme un thriller, ce qu’il n’est nullement à mon sens : pas de suspense haletant, pas de tension, pas de peur en pensant à ce qu’il risque d’arriver à Lena ou, en tout cas, je ne l’ai nullement ressentie.  Par ailleurs, le personnage de Lena ne m’a pas touchée ; je n’ai pas apprécié cette froideur, compréhensible eu égard à ce qu’elle a vécu, mais qui ne permet pas de nous la rendre attachante.  Enfin, coïncidence, mais comme pour le livre précédent, les erreurs de ponctuation et d’orthographe m’ont souvent « détournée » de la lecture…

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