A comme Association, t. 5 : Là où les mots n’existent pas, Erik L’Homme

Grâce à lebonsai, j’avais dans ma PAL le cinquième tome [dédicacé !] de A comme Association d’Erik L’Homme : Là où les mots n’existent pas et pour la petite histoire, je suis allée samedi dernier au Salon du Livre Jeunesse à Namur en pensant y acheter et faire dédicacer le tome 6, Ce qui dort dans la nuit. Et là, damned ! Par un malencontreux concours de circonstances, pas de tome 6 disponible mais qu’à cela ne tienne, j’ai quand même profité de l’occasion pour tailler une bavette avec Erik L’Homme et lui dire tout le bien que je pense de cette série (dont je lis le tome 1 présentement en classe).  Un auteur charmant et disponible !

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À peine la lecture du tome 4 terminée, j’ai enchaîné avec le 5 (c’est assez logique, me direz-vous) qui démarre dans l’émotion, à l’instar de la fin du 4, avec les quelques mots d’Erik L’Homme relatifs au décès de Pierre Bottero.

Et ce sont bien les mots « émotion », « sensibilité » et « tristesse » qui me restent à l’esprit avec cet opus où l’on retrouve notre Jasper, mais un Jasper profondément blessé, meurtri (dans tous les sens du terme), déboussolé, désespérément en colère.  La raison ? Ombe. Ombe, désormais « là où les mots n’existent pas »…

Un Jasper qui (se) pose bon nombre des questions et qui est décidé, quoi qu’il (lui) en coûte, à se battre pour en trouver les réponses. Un Jasper qui grandit, par la force des événements, se complexifie, prend de l’assurance et dont l’humour (maintenant « moins consternant que consterné ») « s’ironise » davantage face à une Association de plus en plus nébuleuse…

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