Orianor, 1 : La Cité aux sept murailles, Jean Avril

Présentation. Rihel, la Cité aux sept murailles, agonise dans les flammes : quarante années de siège, pour une poignée de cendre…

Depuis des millénaires, les humains sont en guerre contre les forces de So’Ghol, la Montagne Noire. Après la chute de Rihel, un seul Trône reste encore aux mains des humains : celui de la Citadelle de Céless, cœur du royaume de l’Endriel. Beaucoup disent que la situation est sans espoir, et pourtant plusieurs se tiennent encore debout, déterminés à poursuivre l’œuvre de résistance. Ensemble, ils continuent d’écrire une épopée traversant les âges.

Les voici qui s’avancent : Kahel, chevalier de l’ordre des Ivataris, mages ayant pour arme la lumière. Blanc, un enfant qui a désormais un empire contre lui. Jad, Iridia et Raygone, jeunes héros répondant à l’appel de l’Endriel, l’ultime rempart du monde libre, sur le point de tomber entre les griffes de l’envahisseur. Et Uriss, ancien roi amené en esclavage au cœur de la Montagne Noire […]

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Mon avis. Merci à Jean Avril qui m’a proposé de découvrir le monde d’Orianor.

La mystérieuse couverture constitue une porte d’entrée idéale de cet univers imaginaire dont Rihel, la cité aux sept murailles, vient d’être envahie, après des années de siège. Elle est désormais aux mains des rakhanes, entités mi-animales, mi-humaines, bien décidées à s’emparer de l’ensemble du royaume de l’Endriel.

La situation est critique et le lecteur se retrouve sur la piste de trois petits « groupes » distincts : Kahel, un chevalier de l’ordre des Ivataris, désormais chargé de veiller sur Blanc, le fils des souverains déchus ; Jad, Iridia et Raygone, trois jeunes gens voulant venir en aide à l’Endriel, c’est à leur propos que l’on en apprend le moins dans cette première partie ; Uriss, le roi déchu, désormais veuf, réduit en esclavage au coeur de la Montagne noire…

J’ai passé un bon moment en compagnie des ces héros apparemment animés par une même volonté : celle de continuer à lutter contre les êtres maléfiques désireux d’asservir l’homme. Une fois devenu esclave, celui-ci sculpte dans la pierre noire la mémoire du peuple monstrueux qui l’a enchaîné à ce terrible destin.

Cet opus constitue, me semble-t-il, une mise en bouche fourmillant d’informations qui devront, je le suppose, prendre leur pleine mesure avec la suite : Esclaves de So’Rah.


Ce récit entre dans le challenge Découverte du Québec.

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