Présentation. Seth Quinn est enfin de retour, après un long chemin… Il a connu une enfance difficile auprès de sa mère droguée, puis il a été adopté par la famille Quinn, où il a grandi entouré de trois grands frères qui ont veillé sur lui avec amour. Il est désormais un homme et un peintre célèbre, il revient d’Europe pour s’installer sur la côte est du Maryland, de nouveau entouré de Cam, Ethan et Phil, de leurs épouses et de leurs enfants, tout le joyeux chaos du clan Quinn. Il est enfin de retour dans la petite maison bleue et blanche devant laquelle il y a toujours un bateau amarré, un rocking chair sur le porche et un chien dans la cours. Pourtant, bien des choses ont changé à St. Christopher depuis qu’il l’a quittée et la plus étrange de toutes est la présence de Dru Whitcomb Banks. Une fille de Washington qui a ouvert une boutique de fleuriste dans la petite ville, elle cherche l’indépendance et la satisfaction de monter son affaire sans l’aide de ses relations. […]
Mon avis. J’ai retrouvé avec plaisir la famille Quinn ; je suis d’ailleurs quelque peu désolée de faire mes adieux à ce clan oh combien attachant car même s’il n’y a pas véritablement de surprise dans cette saga, j’ai passé un bon moment en leur compagnie…
Cette fois, c’est Seth, le « petit dernier », ma foi « très joliment sympathique », qui est le point de mire du lecteur et comme pour les tomes précédents, il sera aux prises avec une jeune femme qui lui donnera du fil à retordre.
Parallèlement, il n’est toujours pas débarrassé de l’ordure qui lui tient lieu, en théorie, de « mère », biologique à tout le moins…
La dernière page de cet épais volume s’est donc tournée ; le seul reproche que je ferai à ce quatrième épisode, c’est que l’épisode relatif à Gloria est trop vite expédié, d’autant que, connaissant l’apôtre (…), il est (presque) impossible de s’en débarrasser aussi promptement.
Bye, bye, Quinn brothers…
Traduction : Sophie Dalle.
Merci aux éditions J’ai Lu pour ce partenariat.
Challenge des 170 idées : n° 79, une place ou un endroit [les « rivages » du titre]
Le monde de Païkanne 