Présentation. Lors du banquet organisé à la remise du prix Nobel, la directrice du prestigieux institut est abattue par une tueuse à gages. Principale témoin de la scène, Annika, journaliste. Malgré la menace qui plane sur sa vie, la jeune femme décide de mener sa propre enquête. Entre l’implacable tueuse et la journaliste, le duel s’annonce sanglant… et sans merci.
Mon avis. Une lecture agréable sous l’égide d’Alfred Nobel…
Je n’avais jusqu’alors jamais lu cette auteure et ne connaissais donc pas Annika : c’est le sixième tome consacré aux (més)aventures de la journaliste suédoise mais je n’ai pas rencontré de difficulté particulière à n’avoir pas lu les précédents.
Si le récit évoque l’assassinat de la directrice du comité Nobel, personnellement, j’ai davantage été intéressée par la vie chaotique d’Annika que par la résolution de « l’énigme », autrement dit la divulgation du commanditaire du crime.
La journaliste s’est retrouvée par hasard au bon endroit au bon moment, « journalistiquement parlant » ; en outre, elle est la seule à avoir aperçu la meurtrière. Elle se retrouve dès lors impliquée mais une « injonction de silence » lui est notifiée : impossible pour elle d’informer le public comme elle l’aurait (ardemment) souhaité.
On suit également de temps à autre Chaton, la professionnelle engagée pour « faire le sale boulot »… et bien décidée à ne laisser aucune trace derrière elle. Aucune.
Annika fouine tous azimuts en jouant un rôle d’équilibriste au sein de son couple en train de se déliter, lentement mais (très) sûrement et c’est cet aspect-là qui m’a beaucoup plu : les questions qu’elle se pose apportent un éclairage intéressant sur sa personnalité…
Merci à Gilles Paris pour ce partenariat.
Traduction : Catherine Renaud.
Le monde de Païkanne 
J’ai déjà lu un roman de cette auteure : lequel ? Je ne sais plus …. mais je n’ai pas dû vraiment accrocher car je n’ai pas récidivé ….:-)
J’aimeJ’aime