Outlander, Livre 4 : Les tambours de l’automne, Diana Gabaldon

Présentation. Pour fuir l’oppression anglaise, Claire et Jamie embarquent pour le Nouveau Monde, où ils espèrent enfin trouver la paix. Toutefois, lorsqu’ils échouent sur les rivages de Caroline du Nord en 1767, l’Amérique est à l’aube de son Indépendance : tandis que la révolution se prépare, les deux amants vont une fois de plus être emportés par le tourbillon de l’Histoire.

Restée en sécurité dans le XXe siècle, leur fille Brianna cherche à percer le secret de sa naissance. Quand elle découvre qu’un sort tragique guette ses parents, elle met tout en œuvre pour les rejoindre dans le passé… avant que les portes du temps ne se referment sur eux.

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Mon avis. J’ai retrouvé avec grand plaisir mes amis de papier dont je suis volontiers les aventures depuis quelques mois ; je fais effectivement partie des « nouveaux lecteurs », autrement dit ceux qui viennent de découvrir la série.

J’ai parfois des difficultés à lire une (longue) série ; ainsi, il y a longtemps, j’ai lu une dizaine de tomes de Fortune de France, de Robert Merle, jusqu’à ce que je n’accroche pas à un des volumes (La Gloire et les Périls ?) ; j’ai alors laissé tomber.

C’est ici le 4e tome (plus de 1000 pages à chaque fois) et pour le moment, je ne m’en lasse pas du tout : j’ai l’impression de (continuer à) faire un bout de chemin avec des amis, en l’occurrence Claire, Jamie (ahhhhhh), Ian, Brianna, Roger, John Grey…

Gros plan cette fois sur le Nouveau Monde, celui qui offrira (peut-être) à Claire et Jamie une tranquillité, toute relative d’ailleurs car même s’il leur sera (probablement) plus facile d’échapper à la couronne anglaise sur ce territoire, leur quotidien risque d’être (davantage encore) parsemé d’embûches : faune, flore, autochtones, climat, isolement…

Brianna et Roger occupent une grande place dans le récit : j’ai trouvé l’Écossais très touchant dans sa relation avec la jeune femme ; John Grey réapparaît, de nouveau délicieusement caustique ; Ian s’affirme et gagne en maturité.

Parallèlement, l’auteur dévoile les conditions de vie de l’époque, tantôt sur une plantation où l’esclavage est la norme, tantôt en des lieux presque inexplorés où la nature règne en maître, tantôt encore au sein de tribus indiennes.

Suite au prochain épisode…

Traduction : Philippe Safavi.

Merci aux éditions J’ai Lu pour ce partenariat.

 

Ce roman entre dans le challenge « Un genre par mois »(historique pour avril).

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4 réflexions au sujet de « Outlander, Livre 4 : Les tambours de l’automne, Diana Gabaldon »

  1. Alors ça c’est marrant, j’ai arrêté Fortune de France exactement au même tome que toi ! J’ai d’ailleurs les deux tomes suivants qui trainent dans ma Pal depuis leur sortie en 2001 et 2003. Pour en revenir à ce tome 4 d’Outlander, je l’ai beaucoup aimé et j’ai beaucoup apprécié Roger aussi, plus que lors de ma première lecture.

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