Présentation. Que faire de sa vie quand on connaît la date exacte de sa mort ?
Les scientifiques ont créé des enfants génétiquement parfaits, immunisés contre toutes les maladies. L’humanité a cru voir son avenir assuré… jusqu’au jour où le verdict accablant est tombé. Ces jeunes gens ont une espérance de vie incroyablement courte : 25 ans pour les hommes, 20 ans pour les femmes, sans exception. Dans ce monde désolé, des jeunes filles sont kidnappées et contraintes à des mariages polygames pour la survie de l’espèce.
Rhine, âgée de seize ans, a été enlevée de force à son frère. Elle se réveille enfermée dans une prison dorée, un manoir où des serviteurs veillent à ses moindres désirs. Malgré l’amour sincère de son mari et la confiance qui s’instaure petit à petit avec ses sœurs épouses, Rhine n’a qu’une idée en tête : s’enfuir de cet endroit.
Mon avis. Il y a longtemps que que je souhaitais lire ce récit mais n’en avais pas encore pris le temps. C’est désormais chose faite : j’ai profité pour cela du challenge « un genre par mois » consacré à la science-fiction.
Ce roman est une dystopie, genre que j’aime beaucoup, mais cette fois, la sauce n’a pas pris : en fait, tout est dit dans la présentation et je me suis (très) souvent ennuyée au fil de ma lecture.
Rhine a été capturée par les « Ramasseurs » en compagnie de ses futures « sœurs épouses ».
La plus jeune, Cecily, se satisfait apparemment de son sort de « prisonnière de luxe » ; l’aînée, Jenna, apparaît détachée de tout/tous. Rhine, quant à elle, garde toujours intacte sa volonté de fuir cet endroit.
Mais si leur mari semble finalement assez inoffensif, il n’en va pas de même de leur beau-père, le cruel Vaughn, prêt à tout pour trouver l’antidote au virus qui condamne les jeunes à une mort prématurée.
En bref, j’ai beaucoup attendu : fuite ou pas fuite. Là (seulement) était la question…
Traduction :Tristan Lathière.
Troisième lecture dans le cadre du challenge « A la découverte d’auteurs ».
Enfin un billet qui ne fera pas grossir la wishlist 🙂
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J’hésite souvent face à une dystopie, qui n’est pas le genre que je préfère – même si j’ai déjà eu des coups de cœur dans ce domaine – mais ton billet m’ôte toute hésitation : un roman que je ne tenterai pas …:-)
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